Vladislav Wolkoff{
Messages : 56 Date d'inscription : 07/08/2018
| Sujet: Vladislav Wolkoff, pour me servir. Mar 7 Aoû - 16:10 | |
Vladislav Wolkoff Nom : Wolkoff Prénom : Vladislav Âge : 15 ans Sang : Pur Orientation sexuelle: Aucune. Avatar: Landon Liboiron Baguette : Bois de cerisier, dont le coeur est une plume de Basilic. 35 cm, très flexible. Volière : Oui. Gringotts : Oui. Élève / Professeur / Mangemort / Auror :Elève.
Vladislav mesure 1,79 m. Il a une légère musculature qui lui procure assez de force pour survivre en cas de besoin (sa mère pouvait y aller fort contre lui). Surtout au niveau des jambes, pouvant courir très vite et bénéficiant d’une bonne endurance. La peau légèrement halé malgré ses origines russes du côté maternel, sûrement un héritage de son père, il laisse ses cheveux brun mi-long pour ainsi cacher son regard bleu d’acier. Il a une allure de bohémien qui lui ajoute du mystère à son côté solitaire. Sa pilosité précoce ne l’aide en rien dans son image. Il aborde souvent une barbe de quelques jours qui lui donne un côté mature et, faut le dire, virile. On ne lui donne jamais son âge, faisant plus vieux qu’il ne l’est, mais cela était sûrement dû au fait qu’il avait grandir très vite. Il n’avait jamais eut d’enfance, alors il ne voit pas pourquoi il en aurait l’apparence. Il s’habille souvent simplement mais avec des marques de luxe (famille de sang-pur oblige). Il adore porter notamment une chemise bordeaux très sombre entrouverte sur son torse, un jean noir moulant et des bottines de la même couleur.
Vladislav est comme les nuits d’hiver en Russie : glacial, presque mortel si on ne prend pas garde à se couvrir. De par l’absence d’amour et l’apport de haine de sa mère envers lui, Vlad’ est devenu un jeune homme froid d’apparence, ne reflétant aucune émotions, ses yeux vous perçant comme la glace. Il ne sourit jamais, ne se fait pas d’amis, repoussant quiconque l’approcherait. Il s’est toujours débrouillé seul. Il n’a pas grandi comme un enfant normal, passant son temps plutôt à survivre. De ce fait, aujourd’hui, il ne se fie à personne à part lui-même, ne prenant que son parti. Il ne fera que ce qui l’arrange, que ce qui peut lui apporter quelque chose. A vrai dire, on ignore ce qu’il pense réellement. On ne le place dans aucune case. Ni méchant, ni gentil. Il vit juste uniquement pour lui. Tel le loup solitaire. Tel un Wolk. Lorsque l’on ne le connaît pas, et si on a le malheur d’être sa cible, il est facile de se faire avoir si on ne prend pas garde. Il est prêt à tout pour obtenir ce qu’il veut. Il sait d’ailleurs user de ses charmes, même si la drague ne l’intéressait pas vraiment. Ces jeux d’adolescents bourrés d’hormones n’avaient aucun attraits à ses yeux. C’est une perte de temps que de s’attacher à quelqu’un. C’est pour cela qu’il ne faisait pas vraiment de distinction de genre, de sexe, de sang et il en passe. Lui tout ce qui l’intéresse, c’est ce qu’il peut gagner, peut importe qui il devait manipuler. Tout n’était qu’un jeu d’acteur pour arriver à ses fins. « Mme Wolkoff, épouse du mangemort Avery, vous êtes convoquée devant le Ministère de la Magie de Londres afin de répondre de vos crimes lors de la guerre des sorciers. » Et le maillet résonna dans la salle tel le glas de la destinée qui se retournait contre eux. Lors de la guerre, la femme d’Avery, née Anna Wolkoff, décida de fuir le pays, reniant le nom de son mari et reprenant son nom de jeune fille ainsi que son héritage. Elle était alors enceinte. Tout comme Karkaroff, elle rejoignit son pays natale, la Russie, où elle profita d’une nouvelle vie plutôt paisible, du moins autant qu’elle pouvait l’être quand on était aussi cinglée. Retrouvant le manoir familiale et profitant de son statut de famille de sang pur dont la lignée était aussi ancienne que ce pays, elle obtint une certaine… protection ou transparence sur son mariage et tout ce que cela comprenait. Vladislav Wolkoff est donc né lors d’une nuit aussi froide que la Russie pouvait offrir, le 14 Janvier 1992. Et ce froid, c’est tout ce que l’enfant connaîtra. Le froid du pays. La froideur de sa mère envers lui, ne ressentant aucun amour envers sa progéniture, que de la haine. A chaque fois qu’elle le voyait, elle voyait son père et elle le haïssait de lui rappeler l’échec de ce mariage. Elle ne cessait de dire que son père n’était qu’un faible, un lâche, qu’il avait échoué, qu’il était comme lui. A l’époque, il ne comprenait pas, ne sachant pas que le nom de son père était Avery. Sous le nom de Wolkoff, il grandit seul, fuyant la rage de sa mère qui l’aurait bien laissé au loup ou mourir dans la neige. Puis il fit sa scolarité à Durmstrang, ce qui était obligatoire pour tous les enfants du pays. Cela ne fit pas plaisir à sa mère de payer sa scolarité, mais elle jouissait au moins de ne plus avoir à supporter la présence de son fils. De par son enfance, Vladislav était devenu aussi glacial que la nuit durant laquelle il est né, ne souriant jamais, restant toujours seul et repoussant quiconque cherchait à l’approcher. Il avait apprit à ne se fier à personne et les autres enfants le surnommèrent « Wolk », le « loup ». Puis un jour, il reçu une lettre de sa mère. Elle même avait reçu une lettre du Ministère de la Magie Russe qui, pour résumer, l’informait qu’elle devait quitter la Russie. Joint à ce courrier, une lettre du Ministère de la Magie anglaise qui l’« invitait » à se rendre à la justice pour répondre de ses crimes lors de la guerre des sorciers. Évidemment, ce n’était qu’une question de temps. On ne disparaissait pas aussi facilement en se cachant derrière son nom de jeune fille quand on épousait un Avery, mangemort de surcroît. Ils quittèrent donc le manoir, tournant le dos à leur terre natale. A Londres, Anna fut mise sous surveillance rapprochée et allait devoir répondre de certains actes. A vrai dire, elle ignorait qu’elles étaient ces accusations. Pour le jeune Vlad’, âgé de 15 ans, n’ayant eu aucun rôle dans cette guerre puisque pas encore né, il eut le droit d’être intégré à Poudlard pour finir sa scolarité. Malheureusement, le bruit comme quoi le rejeton d’Avery était à Londres s’étendit et l’enfant, qui n’avait pourtant rien demandé, allait payer le poids de ce nom qu’il ne découvrait qu’aujourd’hui. Quoi que, ça n’allait pas spécialement lui changer sa vie. P.s. : le seul être avec qui il accepte de partager sa vie est sa chauve souris, Noct’. Lui aussi un être abandonné dans la neige qu’il recueillit. Depuis, ils sont inséparables. Ils ne sont jamais seul, au contraire des apparences. Ce qui est bien avec Noct’, du moins pour son ami humain, c’est qu’il était le seul à le percevoir. Discret, ne sortant que la nuit, il fallait connaître son existence et être attentif pour l’apercevoir. Aussi sauvage que Vlad’ en somme.
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Dernière édition par Vladislav Wolkoff le Mer 8 Aoû - 14:48, édité 1 fois | |